Entre le bien et le mal il y a un jardin
SENG, Diane, FAIVRE-ENGELHARDT, Mireille
DIANE SENG (auto-édition)
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Conseillé par Mc -.16 mars 2021
Entre le bien et le mal il y a un jardin
De poignants témoignages. Vous êtes des "passeuses de mémoire" et c'est un bien beau rôle. J'ai été touchée par ces "aînés" (grand-mère et père) qui ont choisi de partir "rassérénés" dans ce moment de transmission, si fort et essentiel pour eux. Mais ce qui m'a le plus émue, hormis l'horreur de ce moment honteux d'histoire, c'est la réception et l'écho chez la jeune génération ; Vous leur avez fait fait un super CADEAU : celui de SAVOIR et de ne plus porter LE POIDS DU SILENCE. A leur tour, ils pourront ainsi être passeurs d'une parole libérée et vivante. BRAVO pour cette belle famille courageuse et résiliente.
Marie-Claude Petit. -
Conseillé par Aline M.5 mars 2021
Entre le bien et le mal, il y a un jardin
Diane Seng nous partage avec pudeur un recueil de témoignages puissants. La parole intime se libère avec courage, elle s’offre à la mémoire collective comme une réparation de soi-même et de nous autres. Un livre lumineux où l’espoir et la beauté sont énergies de vie. Merci pour ce cadeau.
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Conseillé par Mc -.9 février 2021
Entre le bien et le mal il y a un jardin
De poignants témoignages. Vous êtes des "passeuses de mémoire" et c'est un bien beau rôle. J'ai été touchée par ces "aînés" (grand-mère et père) qui ont choisi de partir "rassérénés" dans ce moment de transmission, si fort et essentiel pour eux. Mais ce qui m'a le plus émue, hormis l'horreur de ce moment honteux d'histoire, c'est la réception et l'écho chez la jeune génération ; Vous leur avez fait fait un super CADEAU : celui de SAVOIR et de ne plus porter LE POIDS DU SILENCE. A leur tour, ils pourront ainsi être passeurs d'une parole libérée et vivante. BRAVO pour cette belle famille courageuse et résiliente.
Marie-Claude Petit. -
Conseillé par Claude C.6 février 2021
Entre le bien et le mal il y a un jardin
Entre le bien et le mal, il y a un jardin. Dans ce récit qu’elle a écrit avec l’aide de Mireille Faivre-Engelhardt, Diane Seng, dont la famille est réfugiée à Dijon, conte l’histoire tragique de son pays livré à la dictature sanguinaire des Khmers rouges. Elle fait sienne la souffrance de ses compatriotes cambodgiens. En dépit de l’horreur évoquée par différents membres de sa famille, elle veut croire, comme Dostoievsky qu’au-delà du mal, la beauté sauvera le monde. Ce livre où nulle part ne perce la haine ou le ressentiment est non seulement un témoignage bouleversant mais aussi une belle leçon de vie et de courage. Ce beau récit dont le titre est emprunté à un poète persan, est dédié « à tous ceux qui font de notre monde, beauté, bonté, magnanimité». Claude Chapuis.