Peintures de littérature

La littérature et la peinture entretiennent de bons rapports depuis longtemps.
D'un côté, les écrivains brossent des portraits, peignent des scènes et usent de toute leur palette pour donner vie à leurs récits. De l'autre, chaque tableau est une histoire pour qui sait les étudier, décomposer leur structure, le jeu des couleurs, leur place dans une œuvre et une époque.

roman

Le Livre de poche

6,90

Et si le Caravage, grand peintre italien à l'existence tumultueuse, avait laissé un journal ? Et si Camilleri, écrivain brillant et érudit, avait été mystérieusement guidé vers la découverte de ce précieux manuscrit ? Et si ces pages, qui nous replongent dans un XVIe siècle finissant, nous donnaient de nouvelles clés pour comprendre les foucades de l'homme et les prouesses de l'artiste ? Andrea Camilleri nous offre ici de vivre de l'intérieur le dernier voyage aventureux du Caravage fuyant la justice des chevaliers de Malte. Avec le brio de l'écrivain rompu au genre historique comme au policier, il sait imaginer pour ce génie du clair-obscur une voix d'une authenticité confondante.


9,90

Florence 1414. Un enfant hirsute, aux pieds couverts de corne, griffonne furieusement une fresque remarquable à même le sol d'une ruelle des bas-fonds de la ville. Miraculeusement repéré par Cosme de Médicis et placé au couvent des Carmes, il va faire souffler un vent de passion sur la peinture de la Renaissance. Moine et libertin, artiste intransigeant et manipulateur sans scrupules, futur maître de Botticelli, ses sublimes madones bouleversent son époque. Elles lui sont pourtant très intimement inspirées par les filles des maisons de plaisir de Florence qui en ont fait leur petit prince caché. Bravant tous les interdits et jusqu'à l'autorité suprême du Pape, il commet par amour l'ultime provocation. Le scandale le pousse à l'exil et le renvoie au secret sanglant enfoui au cœur de son enfance. Peintre voyou, ange ivre, fra Filippo Lippi invente un rapport nouveau entre l'art et le monde de l'argent et, le premier, fait passer les peintres du statut d'artisans estimés à celui d'artistes reconnus.
Florence 1414. Un enfant hirsute griffonne furieusement une fresque remarquable à même le sol d'une ruelle des bas-fonds de la ville. Il va faire souffler un vent de passion sur la peinture de la Renaissance...


8,90

«Le métier de peintre tient de l'alchimie. Ecoute et regarde car il ne s'apprend que de bouche à oreille, de maître à élève. Tout cela pour disposer d'une belle matière sans laquelle il ne peut y avoir de bonne peinture.»

A dos de mule, à l'aube de la Renaissance, un jeune peintre italien s'en fut jusqu'à Bruges recueillir le secret d'une lumière nouvelle. C'était Antonello de Messine. Un peu plus tard, Laurent «le Magnifique» règne sur Florence. Autour de lui, des premiers pas - et premières esquisses - se font remarquer. Où l'on retrouve Botticelli, Michel-Ange, Raphaël, Léonard de Vinci...

Jean Diwo pousse ici délicatement les portes des ateliers les plus prestigieux pour nous conter l'histoire des acteurs d'un temps unique : celui où la Joconde parlait.


Qui était vraiment Léonard de Vinci ? On connaît l'inventeur virtuose, le scientifique précurseur… mais qu'en est-il de l'homme, des ressorts de sa créativité ? Des bas-fonds de Florence à la forteresse de Ludovic Le More, des campagnes guerrières de Borgia à la cour de François Iᵉʳ, Léonard veut tout connaître, tout essayer, tout explorer. Sa ville, Florence, le boude. Rome le rejette. Venise se méfie de lui… Pourquoi ? Quelles relations eut-il avec ses pairs, Michel-Ange et Botticelli ? Sophie Chauveau nous raconte la vie de Léonard de Vinci avec la rigueur et la puissance narrative qui ont fait le succès de La passion Lippi et du Rêve Botticelli. Elle rend ainsi hommage aux artistes qui ont, il y a cinq siècles, conquis leur liberté. «Le siècle de Florence» s'éteint avec le plus mystérieux d'entre eux.
Sophie Chauveau nous raconte la vie de Léonard de Vinci avec la rigueur et la puissance narrative qui ont fait le succès de La passion Lippi et du Rêve Botticelli. Elle rend ainsi hommage aux artistes qui ont, il y a cinq siècles, conquis leur liberté. «Le siècle de Florence» s'éteint avec le plus mystérieux d'entre eux.


9,90

Florence, quinzième siècle. Sous le règne de Laurent le Magnifique, jamais le sang, la beauté, la mort et la passion ne se sont autant mêlés dans la capitale toscane. Le plus doué des élèves de Fra Filippo Lippi, un certain Sandro Filipepi surnommé depuis l'enfance «botticello» (le petit tonneau) va mener à son apogée la peinture de la Renaissance. Maître d'œuvre de la chapelle Sixtine, créateur bouleversant d'un Printemps inouï, il ressent intimement et annonce les soubresauts de son époque. Pendant que Savonarole enflamme la ville par ses prophéties apocalyptiques, il continue à peindre avec fougue. Il entretient alors avec Léonard de Vinci une relation faite de rivalité farouche et d'amitié profonde. Adulé puis oublié de tous, aussi secret que Florence est flamboyante, Botticelli habite un rêve connu de lui seul. Sophie Chauveau lève le voile sur la personnalité intime, les amours et la mélancolie fascinante du plus mystérieux des génies de l'histoire de l'art. Après La passion Lippi, elle poursuit son voyage unique dans le siècle de Florence.
Après La passion Lippi, poursuivant son voyage unique dans le siècle de Florenc, Sophie Chauveau lève le voile sur la personnalité intime, les amours et la mélancolie fascinante du plus mystérieux des génies de l'histoire de l'art.