Les racistes n'ont jamais vu la mer
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EAN13
9782897128135
Éditeur
Mémoire d'encrier
Date de publication
Collection
Essai
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Les racistes n'ont jamais vu la mer

Mémoire d'encrier

Essai

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782897128135
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Dans une ambiance débonnaire et candide d’une conversation entre amis, deux
auteurs racisés font le récit de leurs expériences intimes et de la traversée
de leur pays d’origine au Québec. Ils pensent ainsi, en toute liberté mais
sans âpreté, le sujet délicat du racisme, nomment sans ambages les mots tabous
et imaginent les avenues lumineuses d’un vivre-ensemble. – Les Libraires C’est
tellement beau, Ça m’a ouvert les yeux. C’est superbement écrit. – Julie St-
Amour, Ça vaut le retour D’emblée, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban
rassurent leurs futurs lecteurs et lectrices : Les racistes n’ont jamais vu la
mer est un essai qui ne pointe personne du doigt et qui ne fait aucun appel au
sentiment de culpabilité, bien au contraire. – Plus on est de fous, plus on
lit ! Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi ont planté un arbre et invitent
tout le monde à l’entourer afin d’échanger au sujet du racisme. Les deux
écrivains se relancent l’un l’autre tout au long du livre, Les racistes n’ont
jamais vu la mer, en tablant sur leurs expériences personnelles. – Mario
Cloutier, La Presse Lire Les racistes n’ont jamais vu la mer c’est élever
ainsi son regard droit devant soi et accepter de faire un pas vers « l’Autre
». Pour avancer. Ensemble – Léa Harvey, Le Soleil Dans ce livre-fleuve, qui
tient du genre épistolaire, du récit initiatique, de la critique littéraire,
du commentaire historique et du pamphlet politique, Rodney Saint-Éloi et Yara
El-Ghadban dressent un portrait exhaustif des manifestations du racisme. Ils
prennent toutefois soin de préserver un espace pour le rêve et pour un certain
art de vivre, considérés ici comme des remparts intimes contre les agressions
subies au quotidien. – Alexis Raynault, Le Devoir C’est un livre qui aborde de
manière majestueuse la beauté de la diversité, liée aux notions qui sont
apportées par les personnes ayant un autre regard sur le monde. Ce regard-là
nous apporte quelque chose de plus dans notre propre regard sur le monde.
Guillaume Cabana, Le Cochaux Show – Julie St-Amour, Ça vaut le retour Yara El
Ghadban et Rodney Saint-Éloi nous invitent ici à dialoguer. Les deux
écrivain.e.s se livrent à vous, sous la forme d’un échange épistolaire, riche
et bienveillant. À partir de leur propres expériences et de leurs souvenirs,
chacun.e tente de répondre à la question du racisme. – Éric Chouan, Mission
encre noire Yara El-Ghadban et Rodney Saint-Éloi ont fait plus qu’œuvre utile
en réunissant leurs correspondances dans Les racistes n’ont jamais vu la mer.
Ils en ont fait une large fresque de la situation actuelle vécue par les
personnes dites racisées, tout en les projetant dans une société égalitaire
pour toutes et tous. – Jean-François Crépeau, Passion chronique Deux amis
célèbrent leur appartenance au Québec, leurs parcours de vie, leur amour de la
culture. Les anecdotes sont étrangement familières, le langage est universel,
plein de verve et d’espoir. Leurs voix, littéraires, font naître des images
fortes. On y parle du silence, de la manière de raconter, de conjuguer au
pluriel. On revit le 11 septembre 2001 à travers les yeux d’une jeune femme
arabe nouvellement embauchée comme professeure de piano à Sainte-Julie, on
nage avec des chiens en Haïti, on discute de livres, de monuments, de musique
et, surtout, on réfléchit à la signification du titre, un choc pour moi qui
n’avais jamais vu la mer de cet œil. – Sébastien Veilleux, Les Libraires Un
livre remarquable, notamment par le ton avec lequel ces délicates questions y
sont abordées… un livre plus que bienvenu en ces heures où parler de sujets
sensibles semble parfois si difficile. – Normand Baillargeon, Les Libraires
C’est très émouvant, ça fait énormément réfléchir. – Chantal Guy, Retour vers
la culture Quand deux auteurs prennent la plume pour réfléchir sur le racisme
en disant tout autant leur amour pour la terre d’accueil que l’ignorance et
les préjugés dont ils ont été victimes, quand un poète et une romancière
écrivent les mots tabous, quand ils dénoncent la disparition des langues
autochtones, cela se traduit par un essai lucide et lumineux, fourmillant de
questions, célébrant la parole, la liberté et l’espoir d’un avenir meilleur
grâce à l’instauration d’un vrai dialogue. Un livre essentiel qui donne aussi
envie de lire tous les auteurs évoqués au cours de ce dialogue poétique et
tonique, de Schéhérazade à Naomi Fontaine… – Chrystine Brouillet, Salut
bonjour Deux amis, Rodney Saint-Éloi et Yara El-Ghadban, échangent sur la
beauté de la diversité sous le signe de la bienveillance. À travers leurs
expériences personnelles, les deux écrivains invitent au dialogue ainsi qu’à
la nuance malgré l’urgence et la crise durant lesquelles a été écrit
l’ouvrage. Ce livre ouvre une porte sur les délicates questions qu’il reste à
aborder en lien avec le racisme. – Alix Paré-Vallerand, Maison de la
littérature
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