Alex-Mot-à-Mots

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Alex L., lectrice compulsive, presque anonyme.
Ayant une préférence pour les bons polars, mais aimant aussi les autres genres (sauf la SF, pitié....)

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29 avril 2015

Balkans, suspens

Voilà une lecture qui me dissuade d’aller faire une randonnée en montagne, si il en était besoin. Je préfère lire chez moi, bien au chaud, des aventures de gens qui se perdent en montagne et sous la neige.

Et puis l’histoire du Sacrificateur et de ses pratiques d’un autre âge ne m’a pas passionné non plus.

J’ai toutefois été absorbé par l’histoire jusqu’à ce que les chemins de Lou et de Mathias se rejoignent. J’ai longtemps cherché un point commun.

Trop de facteurs ont fait que ce roman ne m’a pas passionné comme les précédents de l’auteure.

L’image que je retiendrai :

Celle des raisons secs que Lou mange sans passion à chaque repas, elle qui a horreur de ça.

https://alexmotamots.wordpress.com/2015/04/21/six-fourmis-blanches-sandrine-collette

10,20
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22 avril 2015

Allemagne, policier

Voici le premier roman de l’auteur de « Blanche-Neige doit mourir » et la première apparition des deux enquêteurs Bodenstein et Kirchhoff.

L’auteur plante donc le décor et nous entraîne dans une enquête qui prend ses racines début 1945.

J’ai trouvé les enquêteurs un peu lents à trouver la signification du mystérieux 1611945 écrit à côté de chaque décédé.

Les personnages étant nombreux, mais tous importants, l’avancée du récit est lente, très lente.

Et même si j’ai passé un agréable moment de lecture policière, je ne suis pas sûre qu’il m’en restera quelque chose dans quelques mois.

L’image que je retiendrai :

Celle de la cave où se déroule la tragédie de 1945.

https://alexmotamots.wordpress.com/2015/04/19/fletrissure-nele-neuhaus

18,00
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22 avril 2015

disparition, suspens

Mais où est donc passée Shawna ? Et son père, mystérieusement disparu lui aussi quelques mois plus tôt ?

L’enquête, ici, a peu d’importance. Ce qui prime, c’est l’ambiance du roman et la galerie de personnages.

Une petite ville perdue au fond de l’Utah, donc mormone. Mais dans les années 80, avec Mickaël Jackson à plein tube.

Des personnages avec leurs angoisses et leur peur, mais aussi leurs volontés et le sens de la communauté (très important la communauté, aux Etats-Unis).

Je les ai quitté avec beaucoup de regrets.

L’image que je retiendrai :

Celle de Jack allant vaillamment à son rendez-vous nocturne avec la bande mauvais bougres de la ville.

https://alexmotamots.wordpress.com/2015/04/15/seuls-les-vautours-nicolas-zeimet

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22 avril 2015

policier

Voici un roman policier de facture classique qui se déroule au mythique 36, quai des orfèvres dont on découvre une partie des coulisses.

Des acronymes spécialisés, mais un glossaire nous aide à y voir plus clair.

L’assassin imite la façon de faire de Jack l’Eventreur dans le quartier de la gare du Nord. Mais il va plus loin en faisant porter le chapeau au commissaire Kuhn en charge de l’enquête. Heureusement, son équipe est avec lui.

Il m’a manqué quelques explications sur l’ex-femme du commissaire, qui apparaît en fin de récit sans que l’on sache trop pourquoi.

Le personnage du commissaire aurait pu être plus fouillé également (son passé, ses conquêtes féminines). Il est clair que l’auteur s’est plutôt attaché au déroulement de l’enquête.

Un peu d’humour, ce qui ne gâche rien.

Un roman policier classique agréable à lire.

L’image que je retiendrai :

Celle de la blanquette du Sein-Miche devant laquelle tout le monde se retrouve.

https://alexmotamots.wordpress.com/2015/04/13/le-jeu-de-lassassin-nils-barrellon

David Guinard

Librinova

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22 avril 2015

Los Angeles, policier

Vous voulez visiter Los Angeles mais n’avez pas les moyens de vous payez le billet d’avion ? Ce roman vous fera traverser les rues, les boulevards et les avenues ; découvrir les différents quartiers de la ville (les plus riches et les plus beaux) au rythme de ses subjonctifs imparfaits.

L’écriture est des plus classique et la grammaire soignée. Un peu trop de virgules à mon goût, mais passons.

L’histoire semble des plus classiques également. L’auteur propose des pistes pour tromper son lecteur, et le dénouement est habile.

Tout pour vous faire passer de très belles heures de lecture à des kilomètres de chez vous et sans hémoglobine.

L’image que je retiendrai :

Celle des subjonctifs imparfaits, devenus si rares : « Il fallait que je me raisonnasse » (p.336), entre autre.

https://alexmotamots.wordpress.com/2015/04/12/l-a-pour-les-intimes-david-guinard