- EAN13
- 9782081473249
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 15/05/2019
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782081473218
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
6.49 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
-
Aide EAN13 : 9782081473249
-
Fichier PDF, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
6.49 -
Fichier PDF, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Flammarion 9,90
N’en déplaise aux philosophes qui depuis l’Antiquité y vont de leurs
interprétations, la liberté reste une question populaire. S’agit-il de la
possibilité de penser et d’agir sans barrière ni interdit ? Parle-t-on de
l’absence du devoir et donc de contrainte ? Est-il question d’un état de fait
ancré dans une réalité universelle ou d’un ressenti existentiel relatif à
chacune des consciences ? Le but ici n’est pas tant de comprendre ce que
signifie « être libre », mais plutôt de diagnostiquer dans l’absolu ce qui
nous empêche de l’être. Identifions les prisons affectives et sociales pour
mieux nous en évader. Ne plus confondre l’astreinte émotionnelle propre à tout
individu avec les obligations que le collectif lui édicte. Dissocier les
chaînes dont nous pouvons nous défaire de celles auxquelles on ne peut pas
échapper. En un mot, choisir de subir ou choisir d’être – ou plutôt de se
sentir – libre.
interprétations, la liberté reste une question populaire. S’agit-il de la
possibilité de penser et d’agir sans barrière ni interdit ? Parle-t-on de
l’absence du devoir et donc de contrainte ? Est-il question d’un état de fait
ancré dans une réalité universelle ou d’un ressenti existentiel relatif à
chacune des consciences ? Le but ici n’est pas tant de comprendre ce que
signifie « être libre », mais plutôt de diagnostiquer dans l’absolu ce qui
nous empêche de l’être. Identifions les prisons affectives et sociales pour
mieux nous en évader. Ne plus confondre l’astreinte émotionnelle propre à tout
individu avec les obligations que le collectif lui édicte. Dissocier les
chaînes dont nous pouvons nous défaire de celles auxquelles on ne peut pas
échapper. En un mot, choisir de subir ou choisir d’être – ou plutôt de se
sentir – libre.
S'identifier pour envoyer des commentaires.