- EAN13
- 9782336432823
- Éditeur
- L'Harmattan
- Date de publication
- 17/01/2024
- Collection
- Théôria
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782336432823
- Fichier PDF, avec Marquage en filigrane
19.99
Autre version disponible
-
Papier - L'Harmattan 26,00
Dans ce recueil de textes, Jean Borella offre des aperçus passionnants et pour
la plupart inédits sur l’essentiel des problématiques qui ont alimenté sa
réflexion, celle d’un philosophe fondamentalement métaphysicien.
Pour cela il interroge trois domaines d’une importance décisive.
D’abord, le symbolisme sacré dans ses rapports avec la métaphysique et la
liturgie, conclu par un dernier chapitre admirable, dont le titre dit tout : «
La beauté est la nourriture de l’âme. »
Ensuite, les sciences modernes, lesquelles donnent lieu, entre autres, à une
analyse critique et inattendue de l’influence des sciences humaines sur les
experts du concile Vatican II.
Enfin, la logique, si rébarbative pour tant d’étudiants en philosophie.
L’auteur se penche, en particulier, sur le principe de non-contradiction et
les variations de la notion de possible.
Pour couronner le tout, il aborde la question de l’« assomption métaphysique
de l’être » à travers une réflexion sur les notions de dualisme et de non-
dualisme, qui illustre et résume les enjeux intellectuels d’une métaphysique
chrétienne qui va jusqu’au bout d’elle-même.
la plupart inédits sur l’essentiel des problématiques qui ont alimenté sa
réflexion, celle d’un philosophe fondamentalement métaphysicien.
Pour cela il interroge trois domaines d’une importance décisive.
D’abord, le symbolisme sacré dans ses rapports avec la métaphysique et la
liturgie, conclu par un dernier chapitre admirable, dont le titre dit tout : «
La beauté est la nourriture de l’âme. »
Ensuite, les sciences modernes, lesquelles donnent lieu, entre autres, à une
analyse critique et inattendue de l’influence des sciences humaines sur les
experts du concile Vatican II.
Enfin, la logique, si rébarbative pour tant d’étudiants en philosophie.
L’auteur se penche, en particulier, sur le principe de non-contradiction et
les variations de la notion de possible.
Pour couronner le tout, il aborde la question de l’« assomption métaphysique
de l’être » à travers une réflexion sur les notions de dualisme et de non-
dualisme, qui illustre et résume les enjeux intellectuels d’une métaphysique
chrétienne qui va jusqu’au bout d’elle-même.
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