Et que le vaste monde poursuive sa course folle
EAN13
9782714457080
Éditeur
Belfond
Date de publication
Collection
Domaine Étranger - Littérature
Langue
français
Langue d'origine
anglais
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Et que le vaste monde poursuive sa course folle

Belfond

Domaine Étranger - Littérature

Livre numérique

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" Je me fais beaucoup de souci pour Colum McCann : que pourra-t-il bien faire
après un roman aussi extraordinaire, une œuvre aussi fracassante, une
symphonie aussi déchirante ? Jamais un écrivain n'est allé aussi haut ; jamais
un auteur n'a plongé aussi profondément dans le cœur de New York. "
Frank McCourt

" Colum McCann, un artiste téméraire au grand cœur, un poète de chaque
instant. "
Peter Carey

" Avec comme fil conducteur l'époustouflante traversée qu'effectua Philippe
Petit entre les tours inachevées du World Trade Center en 1974, Colum McCann
nous offre le vertigineux panorama d'un New York en pleine ébullition : dames
patronnesses de Park Avenue, junkies du Bronx, magistrats de Center Street,
artistes branchés et tagueurs de métros, curés des rues, flics fatigués,
prostituées épuisées, mères pleurant une guerre en Asie tout juste terminée ;
un chœur magistral de voix liées par la plus éphémère vision de ce point dans
le ciel, cet homme, cent dix étages plus haut, marchant sur leur tête. "
Richard Price

" Ecriture haletante, phrases télégraphiques, un verbe, pas de verbe, peu
importe, il faut à l'écrivain irlandais décrire l'effervescence, le souffle du
monde, les pensées qui zigzaguent et se fondent dans l'instant. McCann excelle
dans l'exubérance, dans la bousculade verbale. "
Yves Simon, Paris-Match

" Dans ses livres précédents, (Les Saisons de la nuit, Danseur, Zoli), comme
dans ce nouveau récit, une rue, un regard, une attitude permettent à Colum
McCann d'imaginer un monde à mille lieues du sien, et dans lequel, pourtant il
déambule avec aisance. Et sa manière de réinventer des vies, de les relier
entre elles, de nous perdre pour mieux nous rattraper, n'en finit pas de nous
impressionner. "
Pascale Frey, Elle

" Colum McCann est autant acrobate que ventriloque: pour rendre le monologue
d'une prostituée, il semble écrire comme Hubert Selby Jr. Mais quand il croque
les dames de Park Avenue, c'est en enfilant le complet blanc de Tom Wolf. "
Marc Lambron, Le Point

" [...] comme toujours avec McCann, l'essentiel est là. Cette aisance à
montrer l'humain dans son combat quotidien avec la réalité. cetteempathie pour
les plus fragiles, les moins glorieux! [...] On se perd un peu dans ce
tourbillon de vies reliées entre elle par la souffrance et la perte. Mais
c'est peut-être le but de la manoeuvre. Décrire une ville, New York, dans son
effervescence, ses moindres frémissements. Et une époque, les années 70, où
malgré la guerre en Asie, la fin de l'ère hippie, un homme pouvait encore se
prendre pôur un oiseau sur un fil tendu entre deux tours san risquer plus
qu'une peine symbolique. "
Bruno Corty, Le Figaro littéraire

" Colum McCann excelle à décrire finement la naissance de l'amour comme
l'approche de la fin, la manière intime de bercer son deuil ou de se réfugier
dans la mémoire de l'enfance. A tel point qu'il parvient à réveiller chez le
lecteur ses propres souvenirs enfouis, à décrire exactement ses propres
impressions encore informulées. Un roman qui, par son souffle métaphysique et
sa sagesse, donne le vertige. Tout simplement. "
David Fontaine, Le Canard enchaîné
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