- EAN13
- 9782814506244
- Éditeur
- PublieNet
- Date de publication
- 24/05/2012
- Collection
- Publie.rock
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Chroniques des temps perdus et bande-son pour orgasme
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Kill Me Sarah dit KMS
PublieNet
Publie.rock
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782814506244
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4.99
KMS est en France une légende du web. Pseudonyme, évidemment. Un blog qui vous
secoue l'écoute, vous emporte sur des chemins où on ne serait jamais risqué
seul. Comme une encyclopédie vivante de la musique électrique (et encore : pas
seulement – et il vous dirait que la musique ne se divise pas).
Mais c'est le rock qu'on explore : ses grands morts, ses figures tragiques,
ses impasses et ses dieux – majeurs ou mineurs. Des légendes, des mythes. Et
ça, comment en parler sans descendre au plus profond de sa vie même, des étés
en caravane, des amours brèves, de souvenirs d'auto-stop ou de guitare
désaccordée ?
Et c'est cela qui fait le bonheur de la lecture du blog Kill Me Sarah , 10 ans
d'existence.
Textes "remixés, remastérisés": ici, il ne s'agit pas d'un blog compilé. Mais
de prendre cette matière à bras-le-corps, dans sa force de langue, et ses
rires, et ses fuites, et ses émotions. Alors, dans cette suite de chroniques
où on croisera Gainsbourg, Dylan (souvent), les Stones à Nellcote, comme Neil
Young, Coltrane, Tom Waits ou Supertramp, The Cure comme Leonard Cohen, c'est
l'inconscient qui surgit, ce qu'on cherche de rêve en soi-même, d'où on
l'extorque et comment – dans le monde qui nous est offert, dans ce qu'on
appelle la vie adulte – on tâche cependant à le préserver.
C'est beau, grave, tragique, comique comme la vie – juste : un peu excessive
(mais c'est ce qu'on leur demande). On rit, on pleure, ça cogne, mais c'est
bien de littérature qu'il s'agit, autant que de musique.
FB
secoue l'écoute, vous emporte sur des chemins où on ne serait jamais risqué
seul. Comme une encyclopédie vivante de la musique électrique (et encore : pas
seulement – et il vous dirait que la musique ne se divise pas).
Mais c'est le rock qu'on explore : ses grands morts, ses figures tragiques,
ses impasses et ses dieux – majeurs ou mineurs. Des légendes, des mythes. Et
ça, comment en parler sans descendre au plus profond de sa vie même, des étés
en caravane, des amours brèves, de souvenirs d'auto-stop ou de guitare
désaccordée ?
Et c'est cela qui fait le bonheur de la lecture du blog Kill Me Sarah , 10 ans
d'existence.
Textes "remixés, remastérisés": ici, il ne s'agit pas d'un blog compilé. Mais
de prendre cette matière à bras-le-corps, dans sa force de langue, et ses
rires, et ses fuites, et ses émotions. Alors, dans cette suite de chroniques
où on croisera Gainsbourg, Dylan (souvent), les Stones à Nellcote, comme Neil
Young, Coltrane, Tom Waits ou Supertramp, The Cure comme Leonard Cohen, c'est
l'inconscient qui surgit, ce qu'on cherche de rêve en soi-même, d'où on
l'extorque et comment – dans le monde qui nous est offert, dans ce qu'on
appelle la vie adulte – on tâche cependant à le préserver.
C'est beau, grave, tragique, comique comme la vie – juste : un peu excessive
(mais c'est ce qu'on leur demande). On rit, on pleure, ça cogne, mais c'est
bien de littérature qu'il s'agit, autant que de musique.
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