L'Épopée sibérienne, La russie à la conquête de la Sibérie et du Grand Nord
EAN13
9782940523771
Éditeur
Editions des Syrtes
Date de publication
Langue
français
Langue d'origine
français
Fiches UNIMARC
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L'Épopée sibérienne

La russie à la conquête de la Sibérie et du Grand Nord

Editions des Syrtes

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782940523764
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    23.99

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C’est une aventure grandiose, qu’aucun récit n’a encore retracé de cette
manière : l’épopée sibérienne, la conquête des immenses espaces du nord de
l’Asie par la Russie reste curieusement méconnue. Entamée alors que les
Européens sont déjà en Amérique, elle conduit l’Empire des tsars jusqu’au
Pacifique puis à l’Alaska. Qui en sont les acteurs ? Des dynasties de
marchands provinciaux comme les Stroganov ou des Cosaques partis chercher
fortune vers l’eldorado qu’ils imaginent. Mais très vite d’autres figures
historiques vont leur succéder pour poursuivre l’élan de la conquête, à la
rencontre du soleil levant, à la rencontre des peuples autochtones des
steppes, de la taïga et de la toundra arctique. Ce sont des scientifiques de
génie que le tsar Pierre le Grand envoie résoudre l’énigme de la séparation
entre l’Asie et l’Amérique, ce sont des commerçants qui dominent les échanges
avec la Chine et colonisent les côtes d’Amérique du Nord, ce sont des
idéalistes qui rêvent d’autonomie ou de construire, loin de la capitale
impériale, une autre Russie débarrassée des archaïsmes. La « conquête de l’Est
» par la Russie réveille bien vite d’autres appétits et rivalités. La
géopolitique est au rendez-vous. Les Russes font face aux Mandchous, aux
Chinois puis aux Japonais qui ont leurs propres visées sur ces espaces peu
peuplés. Dès le XIXe siècle, les puissances européennes viennent aussi mener
bataille dans cette lointaine partie du monde où la Russie défend âprement ses
nouvelles possessions. Le chantier fou du Transsibérien, les bagnes tsaristes,
le Goulag stalinien, la conquête de l’Arctique : autant d’épisodes de cette
Épopée sibérienne que l’on croirait sortis d’un roman mais qui reposent sur
des sources souvent inédites et de nombreuses recherches sur le terrain. Le
lecteur les trouvera relatés dans cet ouvrage avec autant de rigueur
historique que de souffle narratif. C’est une aventure grandiose, qu’aucun
récit n’a encore retracé de cette manière : l’épopée sibérienne, la conquête
des immenses espaces du nord de l’Asie par la Russie reste curieusement
méconnue. Entamée alors que les Européens sont déjà en Amérique, elle conduit
l’Empire des tsars jusqu’au Pacifique puis à l’Alaska. Qui en sont les acteurs
? Des dynasties de marchands provinciaux comme les Stroganov ou des Cosaques
partis chercher fortune vers l’eldorado qu’ils imaginent. Mais très vite
d’autres figures historiques vont leur succéder pour poursuivre l’élan de la
conquête, à la rencontre du soleil levant, à la rencontre des peuples
autochtones des steppes, de la taïga et de la toundra arctique. Ce sont des
scientifiques de génie que le tsar Pierre le Grand envoie résoudre l’énigme de
la séparation entre l’Asie et l’Amérique, ce sont des commerçants qui dominent
les échanges avec la Chine et colonisent les côtes d’Amérique du Nord, ce sont
des idéalistes qui rêvent d’autonomie ou de construire, loin de la capitale
impériale, une autre Russie débarrassée des archaïsmes. La « conquête de l’Est
» par la Russie réveille bien vite d’autres appétits et rivalités. La
géopolitique est au rendez-vous. Les Russes font face aux Mandchous, aux
Chinois puis aux Japonais qui ont leurs propres visées sur ces espaces peu
peuplés. Dès le XIXe siècle, les puissances européennes viennent aussi mener
bataille dans cette lointaine partie du monde où la Russie défend âprement ses
nouvelles possessions. Le chantier fou du Transsibérien, les bagnes tsaristes,
le Goulag stalinien, la conquête de l’Arctique : autant d’épisodes de cette
Épopée sibérienne que l’on croirait sortis d’un roman mais qui reposent sur
des sources souvent inédites et de nombreuses recherches sur le terrain. Le
lecteur les trouvera relatés dans cet ouvrage avec autant de rigueur
historique que de souffle narratif. C’est une aventure grandiose, qu’aucun
récit n’a encore retracé de cette manière : l’épopée sibérienne, la conquête
des immenses espaces du nord de l’Asie par la Russie reste curieusement
méconnue. Entamée alors que les Européens sont déjà en Amérique, elle conduit
l’Empire des tsars jusqu’au Pacifique puis à l’Alaska. Qui en sont les acteurs
? Des dynasties de marchands provinciaux comme les Stroganov ou des Cosaques
partis chercher fortune vers l’eldorado qu’ils imaginent. Mais très vite
d’autres figures historiques vont leur succéder pour poursuivre l’élan de la
conquête, à la rencontre du soleil levant, à la rencontre des peuples
autochtones des steppes, de la taïga et de la toundra arctique. Ce sont des
scientifiques de génie que le tsar Pierre le Grand envoie résoudre l’énigme de
la séparation entre l’Asie et l’Amérique, ce sont des commerçants qui dominent
les échanges avec la Chine et colonisent les côtes d’Amérique du Nord, ce sont
des idéalistes qui rêvent d’autonomie ou de construire, loin de la capitale
impériale, une autre Russie débarrassée des archaïsmes. La « conquête de l’Est
» par la Russie réveille bien vite d’autres appétits et rivalités. La
géopolitique est au rendez-vous. Les Russes font face aux Mandchous, aux
Chinois puis aux Japonais qui ont leurs propres visées sur ces espaces peu
peuplés. Dès le XIXe siècle, les puissances européennes viennent aussi mener
bataille dans cette lointaine partie du monde où la Russie défend âprement ses
nouvelles possessions. Le chantier fou du Transsibérien, les bagnes tsaristes,
le Goulag stalinien, la conquête de l’Arctique : autant d’épisodes de cette
Épopée sibérienne que l’on croirait sortis d’un roman mais qui reposent sur
des sources souvent inédites et de nombreuses recherches sur le terrain. Le
lecteur les trouvera relatés dans cet ouvrage avec autant de rigueur
historique que de souffle narratif. C’est une aventure grandiose, qu’aucun
récit n’a encore retracé de cette manière : l’épopée sibérienne, la conquête
des immenses espaces du nord de l’Asie par la Russie reste curieusement
méconnue. Entamée alors que les Européens sont déjà en Amérique, elle conduit
l’Empire des tsars jusqu’au Pacifique puis à l’Alaska. Qui en sont les acteurs
? Des dynasties de marchands provinciaux comme les Stroganov ou des Cosaques
partis chercher fortune vers l’eldorado qu’ils imaginent. Mais très vite
d’autres figures historiques vont leur succéder pour poursuivre l’élan de la
conquête, à la rencontre du soleil levant, à la rencontre des peuples
autochtones des steppes, de la taïga et de la toundra arctique. Ce sont des
scientifiques de génie que le tsar Pierre le Grand envoie résoudre l’énigme de
la séparation entre l’Asie et l’Amérique, ce sont des commerçants qui dominent
les échanges avec la Chine et colonisent les côtes d’Amérique du Nord, ce sont
des idéalistes qui rêvent d’autonomie ou de construire, loin de la capitale
impériale, une autre Russie débarrassée des archaïsmes. La « conquête de l’Est
» par la Russie réveille bien vite d’autres appétits et rivalités. La
géopolitique est au rendez-vous. Les Russes font face aux Mandchous, aux
Chinois puis aux Japonais qui ont leurs propres visées sur ces espaces peu
peuplés. Dès le XIXe siècle, les puissances européennes viennent aussi mener
bataille dans cette lointaine partie du monde où la Russie défend âprement ses
nouvelles possessions. Le chantier fou du Transsibérien, les bagnes tsaristes,
le Goulag stalinien, la conquête de l’Arctique : autant d’épisodes de cette
Épopée sibérienne que l’on croirait sortis d’un roman mais qui reposent sur
des sources souvent inédites et de nombreuses recherches sur le terrain. Le
lecteur les trouvera relatés dans cet ouvrage avec autant de rigueur
historique que de souffle narratif.
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