- EAN13
- 9782351761038
- ISBN
- 978-2-35176-103-8
- Éditeur
- GALAADE EDITION
- Date de publication
- 06/09/2010
- Collection
- Littérature étrangère
- Nombre de pages
- 496
- Dimensions
- 18,6 x 13,7 x 2,4 cm
- Poids
- 443 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- tchèque
- Fiches UNIMARC
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Elle avait les yeux verts
De Arnost Lustig
Traduit par Erika Abrams
Galaade Edition
Littérature étrangère
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« Elle avait tenu tête à un monde. »
Les cheveux rouges et les yeux verts, elle se trouve sur la rampe de tri à Auschwitz. Elle survit. Une fois, deux fois, juste parce qu’elle sait saisir l’occasion, juste parce qu’elle n’a pas le choix. Hanka se fait prostituée dans un bordel militaire.
D’une écriture limpide, sur le fil du rasoir, Arnošt Lustig imagine le destin peu ordinaire d’une jeune fille qui, face à l’inattendu, choisit coûte que coûte la vie et l’espoir.
« Lustig nous montre que le langage détient ce pouvoir qui souvent nous fait défaut dans la vie : le pouvoir de se souvenir, d’accuser, de confesser, et, plus important, de renouveler et de transcender. » – Washington Times.
« Une œuvre étourdissante qui mériterait d’être comparée à celles d’Elie Wiesel et de Primo Levi. » – Publishers Weekly.
Les cheveux rouges et les yeux verts, elle se trouve sur la rampe de tri à Auschwitz. Elle survit. Une fois, deux fois, juste parce qu’elle sait saisir l’occasion, juste parce qu’elle n’a pas le choix. Hanka se fait prostituée dans un bordel militaire.
D’une écriture limpide, sur le fil du rasoir, Arnošt Lustig imagine le destin peu ordinaire d’une jeune fille qui, face à l’inattendu, choisit coûte que coûte la vie et l’espoir.
« Lustig nous montre que le langage détient ce pouvoir qui souvent nous fait défaut dans la vie : le pouvoir de se souvenir, d’accuser, de confesser, et, plus important, de renouveler et de transcender. » – Washington Times.
« Une œuvre étourdissante qui mériterait d’être comparée à celles d’Elie Wiesel et de Primo Levi. » – Publishers Weekly.
Commentaires des lecteurs
"Tout ce que j’ai appris d’important sur l’homme, je l’ai appris dans la guerre. La guerre ôte à l’homme la chemise et les vêtements de la convention, de la morale, des habitudes et des règles et elle le confronte avec ...
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