Un asile en Provence, La maison saint-paul à saint-rémy du xviiie au début du xxe siècle
EAN13
9791032002629
ISBN
979-10-320-0262-9
Éditeur
Presses Universitaires de Provence
Date de publication
Collection
TEMPS DE L HIST
Nombre de pages
181
Dimensions
24 x 16 x 1 cm
Poids
312 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Un asile en Provence

La maison saint-paul à saint-rémy du xviiie au début du xxe siècle

De

Presses Universitaires de Provence

Temps De L Hist

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L'ouvrage retrace l'histoire de l'asile où Van Gogh a été interné. En 1807, à Saint-Rémy-de-Provence, le docteur Louis Mercurin achète l'ancien couvent Saint-Paul-de-Mausole. La petite maison de force tenue avant la Révolution par des moines devient un asile privé laïque où des malades mentaux des deux sexes sont séquestrés. Vincent van Gogh y a vécu un an, de mai 1889 à mai 1890, séjour au cours duquel il a réalisé une part importante de son œuvre. Une autre célébrité, Marie Lafarge, condamnée pour le meurtre de son mari, l'avait précédé. Albert Schweitzer les suivra. D'abord effroyables, les conditions de vie des pensionnaires s'améliorent timidement. Mais les préoccupations de rentabilité et les problèmes de pouvoir à la tête de l'établissement relèguent au second plan la question de la guérison, alors très aléatoire, de la folie. Au départ majoritairement masculin, l'asile s'organise peu à peu autour du groupe des religieuses et des malades femmes.
L'ouvrage retrace l'histoire de l'asile où Van Gogh a été interné. En 1807, à Saint-Rémy-de-Provence, le docteur Louis Mercurin achète l'ancien couvent Saint-Paul-de-Mausole. La petite maison de force tenue avant la Révolution par des moines devient un asile privé laïque où des malades mentaux des deux sexes sont séquestrés. Vincent van Gogh y a vécu un an, de mai 1889 à mai 1890, séjour au cours duquel il a réalisé une part importante de son œuvre. Une autre célébrité, Marie Lafarge, condamnée pour le meurtre de son mari, l'avait précédé. Albert Schweitzer les suivra. D'abord effroyables, les conditions de vie des pensionnaires s'améliorent timidement. Mais les préoccupations de rentabilité et les problèmes de pouvoir à la tête de l'établissement relèguent au second plan la question de la guérison, alors très aléatoire, de la folie. Au départ majoritairement masculin, l'asile s'organise peu à peu autour du groupe des religieuses et des malades femmes.
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