La conjuration primitive

Maxime Chattam

Albin Michel

  • Conseillé par (Libraire)
    3 mai 2013

    La Conjuration Primitive

    Une véritable épidémie de meurtres se propage en France, tous avec des modes opératoires différents, mais avec une même signature: *e (gravé sur chaque corps retrouvé, faut bien rigoler un peu...).
    Mais les enquêteurs de la SR (section de recherches) vont découvrir que ses tueurs ne sévissent pas seulement en France, mais aussi dans toute l'Europe...
    Devant cette affaire qui les dépasse, Alexis Timée, Segnon Dabo et Ludivine vont faire appel à Richard Mikelis, célèbre criminologue à la retraite afin d'arrêter l'épidémie...
    Mais le temps leur est compté, le compte à rebours des soldats du Mal est déjà lancé.. "et si seul le Mal pouvait combattre le Mal?"
    Chattam mélange thriller, enquête, Histoire, suspens, voyages, drames, meurtres (un peu... Ok, beaucoup), conjurations, psychopathes, sociopathes... Bref, la totale! Pas une seconde de répit!
    Si jamais vous sortez votre chien et que vous sentez comme une présence derrière vous, ne paniquez pas, vous êtes juste contaminé et plongé dans ce thriller captivant!


  • Conseillé par
    18 août 2013

    France, thriller

    On ne présente plus l'auteur, n'est-ce pas. Et pourtant, je m'en étais un peu éloigné ces dernières années, après quelques déceptions. Me voici de retour, donc.

    Bien m'en a pris, car j'ai vraiment accroché à cette histoire.

    Parfois sanglante (J-C. Grangé a fait des "petits"), l'enquête nous mène au coeur des ténèbres, comme l'auteur m'y avait habitué.

    Et puis M. Chattam sort les grands moyens : pas de poursuites en voiture cette fois, non, mais des détours par l'Ecosse et la Pologne, sans oublier les hélicos au Canada ; c'est tout de même plus classe, avouez.

    Sans oublier le couple d'enquêteurs éclaté : il n'y a plus deux personnages en même temps, mais à tour de rôle.

    J'ai beaucoup apprécié le clin d'oeil de l'auteur aux lectrices de romans policiers, même si le personnage fini plutôt mal.

    Un agréable moment de lecture, donc, même si avec les techniques modernes, le Mal fait des petits.

    L'image que je retiendrai :

    Celle du personnage de Mikelis, énigmatique jusqu'au bout.

    http://motamots.canalblog.com/archives/2013/08/06/27591048.html